Juste une remarque sur le billet d’avant : il a été rédigé sur un coup de colère [un peu comme tout ce que j’écris arrive suite à une émotion intense]. Il ne comportera pas de réponse aux commentaires simplement parce qu’une quelconque justification serait en adéquation avec ce que j’ai marqué.
Panne sèche face à tout ce qu’il se passe ces derniers mois. J’aurais voulu poser des mots dessus que je n’y serais pas arrivée, et même que le meilleur résumé serait « belle merde immonde avec des aléas émotionnels poussés entre le laxisme et l’extrême »… je me sens toute aussi avancée qu’une remorque de bateau à moteur qui n’aurait plus d’essence…elle est pas belle la vie ?
Je me souviens de ma première année à Paris ; cette fameuse première année où je savourais le goût de la liberté et des joies du couple retrouvé. A côté se trouvaient mes études avec un premier semestre cataclysmiquement désastreux et des relations scolaires à en faire hennir une vache belge.
Le second semestre c’était beaucoup mieux passé suite à une prise en main intensive.
La seule chose dont je ne me souviens pas, est le fait de savoir si j’envisageais ou non de continuer ma formation de l’époque ; ce qui, en outre, m’aurait bien aidé en ces temps acrobatiquement cycliques.
Cette année, total renouveau dans la situation : me voici en proie à une vie que je souhaitais ardemment, une fuite que je n’espérais plus, et une solitude aux couleurs pourpres.
Et pourtant le schéma reste le même : premier semestre catastrophique avec des notes immondes et un tissu relationnel aussi épais qu’un fil de pêche.
Alors ma question réside dans le fait de rester ou non dans cette formation.
La chose essentielle, quant à elle, réside dans le fait que je n’ai aucune idée des études vers lesquelles me diriger si je quitte la branche informatique.
Avant de partir de Toulouse pour les vacances de noël, un copain me sort « n’oublie de revenir à Toulouse… ». Au plus je médite cette phrase et au plus mon inconscient l’efface peu à peu en commençant à se demander s’il ne devrait pas effacer mes débuts de vie à Toulouse …
Une idée : Est-ce parce que je suis seule à Toulouse que je pense tout ça et que toutes ses épreuves me semblent insurmontables ?
…moi qui me pensais forte aussi bien mentalement que physiquement, je me vois contrainte d’une sévère remise en question loin de tout ceux qui ont su un jour me donner un sourire plus que sincère ou m’ont serré si fort dans les bras que je n’ai pas osé leur dire que j’en avais les larmes aux yeux de joie …
Il reste un énorme brouillard sur ce que je fous ici ; sachant que le mot « ici » désigne tous les endroits dans lesquels je peux me trouver … est-ce normal de ne pas se sentir à sa place à n’importe quel endroit que l’on soit ?
Commentaires :
J'aimerais pas être à ta place, se sentir loin de tout... Mais l'informatique c divers, n'y a t'il pas près de tes proches une formation qui t'interesserais? Tu as besoin d'un soutien, ami, famille ou petit ami, c normal, c humain.
Courage ma belle!
LENARRATEUR
je te dédie ce qui suit miss!! Take care of yourself i dont forget you.
Artur
et pour la suite si ta envie de savoir.....cest ici http://arturmathieu.joueb.com
bouzouxes!!
Artur